Erasmus, le parcours du combattant

00:49:00

Erasmus,





Comme je disais la dernière fois, je n’en ai pas fini avec la paperasse. Le long périple pré- ou anté-Erasmus (comment on dit ??) est jalonné d’épreuves toutes plus longues et angoissantes les unes que les autres, c’est terrible.







Donc voilà, il y a quelques jours, c’était l’étape du passeport.
Petit conseil : n’allez jamais faire votre passeport par un temps caniculaire. C’est une des conditions idéales pour, après avoir crapahuté à la recherche d’un dossier de bourse départementale et fait trois fois l’aller-retour entre la mairie et le bureau de tabac le plus proche pour acheter 86+3€ de timbres fiscaux, se retrouver dégoulinante à souhait au moment de faire les empreintes digitales, et pire encore, de se faire photographier en couleur, avec un flash assez puissant pour vous faire perdre l’usage de votre vue pendant un quart d’heure. Véridique.

Puis, next step : la carte européenne d’assurance maladie (CEAM pour les intimes).
Alors là, je crois que j’ai quand même eu de la chance, je n’ai attendu qu’un quart d’heure avant de me retrouver devant le guichet. Bon, ça aurait été un peu trop facile si ma carte vitale n’avait pas été obsolète et qu’une manifestation de la CGT se préparait devant l’entrée.

Et pour couronner le tout, la cerise sur le gâteau, nuage de lait in the english tea - si je puis me permettre cette analogie (haha), j’ai cru que j’allais vraiment devoir aller toquer chez mon professeur référent pour lui soutirer une attestation nominative signée et tamponnée avant que la deadline pour la réception du dossier de candidature arrive. Puis j’ai aussi cru que j’allais devoir partir à la recherche du dossier déjà envoyée pour remplacer une attestation sans valeur contre la bonne, sauf que c’était trop tard. Donc : soit mon dossier sera refusé parce qu’il manque une signature, soit mon dossier sera refusé parce qu’il sera arrivé après la deadline. Youuuupi !

You Might Also Like

0 kg of toffee popcorn