Hier, j’ai acheté un Moleskine. Le carnet noir,  l’authentique, le légendaire ;)

En fait, je dois vous avouer quelque chose : je suis une inconditionnelle amoureuse de carnets. J'ai une petite collection de carnets en tous genres : petits, grands, minuscules, reliés, à spirales, épais, fins, rigolos, anciens, neufs, jolis, à listes, à idées, à dessins, à histoires, format à la française, à l’italienne, papier blanc, recyclé, ligné, à carreaux, couverture souple, rigide, plastique, carton, …une vraie folie quoi. 

Dans tout cet amalgame de carnets, il manquait LE carnet par excellence. La pépite, le nec plus ultra, la classe internationale, un peu le Georges Clooney du carnet, voyez.

Alors bon, j’en conviens, le prix de la marchandise peut refroidir à première vue. (D’où ma patience d’attendre jusqu’à hier pour m’offrir ce carnet-plus-sobre-tu-meurs.) Mais quand on l’ouvre, on sent que c’est de la bonne came. On se dit intérieurement que ce carnet n’attend que de partir aux quatre coins du monde dans notre sac à dos de bourlingueur pour garder une trace de nos aventures indiana-jonesques ou erasmusiennes…Oui, Moleskine rend gaga, définitivement !

Donc voilà, ce Moleskine aura désormais sa place dans ma valise pour l'Angleterre, à côté du mini-atlas de géographe et de l'indispensable Harrap's anglais-français. 

By the way, épilogue du dernier billet, j'ai reçu mon passeport et je confirme, la photo est complètement horrible, mais je l'aime quand même (le passeport, pas la photo). J'ai reçu ma CEAM et mon dossier étant arrivé à Exeter dans les temps (mon avenir n'est pas réduit à néant, merci La Poste), j'ai mon student number !