Faire route avec quatre inconnus, un chien et trois tonnes de bagages, faillir rester coincée à pied au milieu de l'autoroute, monter avec des inconnus, retrouver ces gens drôles au pied d'une grand roue, fabriquer des banderoles de bienvenue sur horaires sncf, hériter d'un sac isotherme so 90's, manger un bagel dans une cave, avoir les pieds trempés, jouer les touristes dans un magasin aux dix mille moutardes, ne pas manger d'escargots, terminer la corvée cadeaux dans le timing avec grande classe, se gaver de pancakes, rester dedans en mode grosse loque, empester le kebab et mourir de soif, regarder ce fameux hobbit, se ballader dans la nuit, dormir (un) peu, passer sa journée dans le train, se faire de trop grosse bouffes, se poser, repartir, dégoter un jogging mimoun, manger des kinder bueno écrasés, apprécier le soleil et la neige, dire au revoir à ses 20 ans, conduire sous la pluie, rentrer les genoux explosés, revoir ces gens d'avant, manquer les autres, ne pas réviser alors qu'il faudrait, terminer cette année en beauté.
Aller à Malte, Paris, Milan, retourner chez les Rosbeefs, visiter la Suisse, monter à Lille.etc
La carte jeune et le sac à dos. L'aquarelle et un bouquin VO.
C'est pas l'envie qui manque.
La carte jeune et le sac à dos. L'aquarelle et un bouquin VO.
C'est pas l'envie qui manque.
La fin du semestre me rappelle le bilan du first term de l'année dernière.
C'est toujours ce sentiment oxymorique de la coolitude extrême des retrouvailles avec des gens que tu aimes bien quand même couplée à la loose (extrême aussi) d'au revoir à des gens vraiment formidables aussi (ces gens-là).
Voilà, il me tarde les vacances quand même.