Ce moment-là, où tu es tiraillée entre la grosse fiesta (fini fini les règles, plus d'horaires, de micro chambre, de fer à lisser, d'odeur de dissolvant, blablabla : la liberté, youpi) ET la grosse déprime (qu'est-ce que je fais avec moi-même ? c'est atroce il fait trop chaud, où est ma guitare ?? si je mange pareil en restant allongée toute la journée au lieu de gambader dans les prés ça peut devenir fatal, ils sont où les gens ??? où est-ce que je les balance mes confettis ??) : ça serait cool que cette habituelle déprime estivale se termine vite.
Ohé, demain je quitte le sud (et accessoirement la civilisation un peu) pour aller cramer autrement qu'à la plage ou sur une falaise. Décidément, il y aura toujours trop de trucs à faire.